Interflora X Fondation ARC

Octobre Rose :
toutes et tous mobilisés, on avance !

Il est dans notre ADN de combler les distances, faire germer la solidarité, fleurir l’amitié. Rassembler. Soutenir.

A travers nos compositions florales, nous nous adressons souvent aux femmes. Alors comment ignorer leurs combats ? Les épreuves souvent secrètes voire taboues qui jalonnent leur vie.

C’est pourquoi, il est des causes qui nous sont chères. La lutte contre le cancer du sein en fait partie.

Parce que nos actes peuvent faire bouger les lignes, Interflora vous invite à rejoindre le mouvement Octobre Rose.

Pour tout achat sur la collection Octobre Rose, Interflora reversera 1€ par bouquet à la Fondation pour la recherche sur le cancer.

Je découvre

Octobre Rose : toutes et tous mobilisés, on avance !
Fondation ARC

Reconnue d’utilité publique, la Fondation ARC est 100 % dédiée à la recherche sur le cancer.
Grâce à la générosité de ses donateurs et testateurs, elle alloue chaque année de l’ordre de 25 millions d’euros à des projets de recherche porteurs d’espoir pour les malades. Son objectif : contribuer à guérir 2 cancers sur 3 en 2025.
Vous pouvez faire un don supplémentaire sur cette page spécialement créée à l'occasion de Octobre Rose : https://collecter.fondation-arc.org/projects/octobre-rose-avec-interflora



La Fondation ARC pour la recherche sur le cancer

Dans un monde où le cancer reste une des premières causes de mortalité, nous avons la conviction que seuls les progrès de la recherche permettront de guérir les cancers ! C’est pourquoi nous avons mis la recherche au cœur de notre mission, une recherche sur le cancer et pour les individus, une recherche dynamique et positive, accessible au plus grand nombre.
Le cancer du sein est le cancer plus fréquent et le plus meurtrier chez les femmes en France avec 58 459 cas par an et 12 146 décès (estimations sur 2018).
Trois grands projets illustrent les investissements de la Fondation ARC pour lutter contre les cancers du sein en 2022

Mieux protéger les femmes à risque
La Fondation ARC a choisi de financer le projet de Catherine Nogues à l’Institut Paoli Calmette de Marseille.
Il s’agira de suivre 6000 femmes porteuses de mutations de BRCA1 et BRCA2 sur 10 ans, afin notamment d’estimer plus précisément le risque individuel de cancer du sein ou de l’ovaire en prenant en compte, au-delà de la seule mutation, des facteurs environnementaux, de style de vie et d’autres facteurs génétiques.
A terme, l’objectif est de développer une prévention et un dépistage personnalisés, un diagnostic plus précoce et une orientation thérapeutique plus efficace.

Eliminer les cellules invasives
Dans le combat contre le cancer du sein, l’ennemi numéro 1, une fois la maladie déclarée, ce sont les métastases : ces filles de la tumeur mère qui colonisent le corps. Ce sont elles qui généralisent le cancer, et sont causes des situations fatales. Le projet de Silvia Fre à l’Institut Curie de Paris, vise, à terme, à l’aide d’une nouvelle technologie de code barre génétique, l’identification des cellules détentrices de cette capacité « colonisatrice », dès la découverte du cancer. Ces cellules dangereuses pourraient alors être ciblées avant qu’elles aient déployé leur potentiel …. et de nombreuses vies seraient sauvées.

Diminuer les effets secondaires graves
On compte aujourd’hui plus de 900 000 femmes guéries ou traitées pour un cancer du sein en France. Sur ce nombre considérable, une sur deux souffre d’un effet secondaire grave du traitement qu’elle a suivi….
Aussi leur qualité de vie, leur capacité à reprendre une vie normale, dont par exemple, une vie professionnelle, est aujourd’hui un enjeu de santé publique.
Le projet d’Antonio Di Meglio de Gustave Roussy à Villejuif, s’attaque à cet aspect crucial pour les femmes en cherchant des protocoles d’accompagnement en capacité de faire diminuer ces effets, de limiter la toxicité des traitements à long terme et de les aider dans leur réinsertion socio-professionnelle.